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Le cyclisme est souvent entouré de plusieurs idées reçues qui peuvent intimider ou décourager les nouveaux venus.
Pourtant, il suffit de démystifier certains aspects pour rendre cette activité plus accessible et agréable à tous.
Que vous soyez un amateur ou un passionné, cet article explore les principales croyances erronées autour du cyclisme et offre des conseils pratiques pour améliorer vos sorties.
Mythe 1 : vous devez correspondre à un « type » spécifique de cycliste
Il est facile de se laisser submerger par l’image conventionnelle du cycliste professionnel ultra-performant. Cependant, la réalité est beaucoup plus inclusive.
Le cyclisme s’adresse à tous ceux qui aiment pédaler.
Des athlètes tels que Marianne Vos, Mathieu van der Poel et Tom Pidcock montrent qu’il est possible de pratiquer et d’exceller dans plusieurs disciplines.
Alors, peu importe votre niveau ou votre style de prédilection, ce qui compte avant tout, c’est le plaisir de rouler.
Vous pouvez changer de discipline au fil du temps
L’une des beautés du cyclisme est sa flexibilité.
Vous pouvez commencer avec le VTT, puis découvrir la route, ou encore essayer le cyclocross.
Chaque discipline apporte ses propres défis et plaisirs, permettant ainsi de garder la pratique variée et excitante.
Mythe 2 : vous avez besoin de dépenser une fortune en équipements accessibles et performants
Vous n’avez pas besoin de dépenser une fortune pour profiter du cyclisme.
Les marques offrent désormais des modèles en aluminium performants et à prix raisonnables, qui sont tout aussi efficaces que leurs homologues plus coûteux en carbone.
L’important est que le vélo soit adapté à vos besoins et confortable à utiliser.
Mythe 3 : vous pouvez chiller dans votre habit de cycliste après une sortie…
Lorsque vous terminez une sortie, il est crucial de prendre soin de votre hygiène pour éviter les problèmes cutanés et infections.
La transpiration et les frottements créent un environnement propice aux bactéries. Voici quelques étapes essentielles :
- Se changer immédiatement après la sortie : mettez des vêtements secs et propres.
- Prendre une douche complète pour éliminer la sueur et les résidus accumulés.
- Nettoyer soigneusement la peau, surtout les zones sensibles, pour prévenir les irritations et infections.
Mythe 4 : vous devez porter un sous vêtement sous votre cuissard
Parmi les erreurs courantes chez les cyclistes débutants figure le port de sous-vêtements sous le cuissard.
Ce dernier est conçu pour être porté seul, car son chamois (insert en mousse) minimise les frottements et permet de limiter la prolifération bactérienne. Pour maximiser le confort et l’efficacité, abandonnez les sous-vêtements lorsque vous portez un cuissard.
Mythe 5 : vous avez juste besoin de rouler sans planification
Pédaler régulièrement est excellent pour maintenir la forme physique, mais sans structurer ses entraînements, on atteint vite un plateau.
Selon Ryan Thomas, entraîneur principal, avoir un programme bien défini permet de franchir de nouveaux caps dans votre performance cycliste. Au-delà de simples promenades, intégrez des séances spécifiques :
Varier les parcours et intensités
Pour continuer à progresser, changez de parcours, ajoutez des montées ou variez les distances. Cela stimule différents muscles et systèmes énergétiques, améliorant ainsi votre condition physique générale.
Faire appel à la compétition amicale
Rejoindre des groupes de cyclistes peut également apporter un élément de motivation supplémentaire. Rouler avec d’autres personnes introduit une dimension sociale et compétitive, essentielle pour pousser ses limites.
En adoptant ces petites modifications et en brisant les mythes, le cyclisme devient non seulement accessible, mais aussi une source de plaisir renouvelée.
Il suffit de quelques ajustements pour transformer chaque sortie en une expérience positive et enrichissante.
Bonus : nul besoin d’être un fervent défenseur de la cause cycliste
Le soutien et la promotion de la cause du cyclisme peuvent sembler futiles, mais ils jouent un rôle significatif dans l’amélioration de la sécurité et des infrastructures.
Kathleen Lovell, directrice de campagne de People for Bikes, affirme que la défense du cyclisme a permis des gains impressionnants.
Parmi ces réussites : l’obtention de financements fédéraux pour les infrastructures cyclables et l’ouverture de milliers de kilomètres de sentiers récréatifs pour les vélos électriques.
Conseils pour devenir un défenseur efficace
Pour contribuer activement à la communauté cycliste, voici quelques idées :
- Demander l’installation de pistes cyclables protégées auprès des autorités locales.
- Suggérer des espaces de stationnement pour vélos sécurisés sur votre lieu de travail.
- Participer à des campagnes locales visant à promouvoir le cyclisme comme moyen de transport respectueux de l’environnement.
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Le principal c’est pédaler !
Sujet très intéressant, les conseils sont les bienvenus,continuez à nous donner l’envie de rouler en vélo.
Oui, dans ce cas vous êtes un bon cycliste. Et ne vous inquiétez pas, un cycliste « performant » ne sera peut être même pas capable de faire ses courses avec vous, parce qu’il aura besoin de sa bagnole pour tout transporter. D’ailleurs, il fait sûrement plus de kilomètres en voiture pour trimballer son vélo, que de kilomètres à vélo….
Par contre dans l’article, il est parlé de milliers de kilomètres de pistes créées pour les vélos électriques. Désolé, mais ceux qui utilisent ce type de vélos ne sont pas cyclistes, mais cyclomotoristes.
Point 1: ce qui compte avant tout c’est le plaisir de rouler. Point 5: faut etre perfomant et structurer ses « entrainements » sinon on « plafonne ». Pas sur que je vous suis la; donc si je roule juste pour le plaisir, pour faire les courses, que je me sert du vélo comme mode de transport et que je n’essaye pas de m’améliorier en performance, je suis pas un cycliste ? Donc ca reviens toujours à la performance d’apres vous le cyclisme c’est ca ? Pas mal contradictoire votre affaire !