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Allez, on enfile le cuissard et on enfourche le VAE ! À 64 ans, Jean-Pierre, cycliste chevronné a décidé de troquer son fidèle destrier mécanique contre un vélo à assistance électrique.
Son objectif ? Perdre ces kilos qui s’accrochent comme un sprinter dans la roue d’un puncheur.
Mais voilà, notre ami pédaleur se pose LA question qui taraude tant de cyclistes : rouler en mode éco sur un VAE, ça fait vraiment maigrir ou c’est juste bon pour se la couler douce ?
Accroche-toi à ton guidon, on démonte les préjugés et on graisse la chaîne de la vérité !
Le VAE, ce faux-plat descendant vers la perte de poids ?
Première chose à savoir : le VAE, ce n’est pas un scooter déguisé en vélo. Même en mode éco, il faut pédaler pour avancer. Jean-Pierre l’a vite compris :
« Au début, je pensais que j’allais me la couler douce. Mais quand j’ai vu que je devais quand même appuyer sur les pédales pour grimper le Tourmalet, j’ai compris que ce n’était pas de la triche ! »
En effet, le VAE en mode éco, c’est comme avoir un coéquipier qui vous pousse gentiment dans les montées, sans pour autant faire tout le boulot. Vous brûlez des calories, mais avec un coup de pouce électrique qui vous permet d’aller plus loin, plus longtemps.
Les watts qui font fondre : la science derrière le VAE
Parlons chiffres, parce qu’en cyclisme, on aime bien mesurer les performances.
Une étude de l’Université de Copenhague a montré que pédaler en VAE peut augmenter la dépense calorique sans forcément vous donner envie de vider le frigo en rentrant. C’est comme si vous faisiez un contre-la-montre sans le stress du chrono !
Pour un cycliste de 80 kg, une heure de pédalage en VAE brûle en moyenne 150 calories. C’est moins qu’un vélo classique, certes, mais c’est toujours mieux que de rester vissé dans son canapé à regarder le Tour de France à la télé.
Jean-Pierre raconte : « J’ai perdu 5 kg en 3 mois ! »
Notre cycliste sexagénaire ne mâche pas ses mots :
« Au début, j’étais sceptique. Je me disais que c’était pour les fainéants. Mais après trois mois à rouler quotidiennement en mode éco, j’ai perdu 5 kg ! Et le plus fou, c’est que je ne me suis même pas senti fatigué. »
Jean-Pierre a pour cela adopté une routine simple :
- 30 minutes de VAE le matin pour aller chercher le pain
- 1 heure de balade l’après-midi, en alternant les modes
- Des sprints occasionnels sans assistance pour pimenter le tout
Le secret ? La régularité, pas l’intensité
Le VAE, c’est comme un bon braquet : ce n’est pas la puissance qui compte, mais la régularité.
Denis, coach cycliste, explique :
« Le VAE permet de faire de l’exercice tous les jours sans se griller. C’est l’idéal pour perdre du poids de façon durable, surtout pour les personnes qui reprennent une activité physique. »
L’astuce, c’est de varier les plaisirs. Un jour on roule en mode éco sur du plat, le lendemain on se fait une belle grimpette en mode sport. C’est comme alterner entre du vélo et de la course à pied, mais sans quitter sa selle !
Les 3 mythes du VAE qui tombent à l’eau
Attention, on dégonfle quelques mythes bien accrochés :
- « Le VAE, c’est de la triche » : Faux ! C’est un outil qui permet de s’adapter à sa condition physique.
- « On ne fait pas d’effort en VAE » : Archi-faux ! L’effort est juste mieux dosé.
- « Le VAE ne fait pas perdre de poids » : Démenti par Jean-Pierre et la science !
La technique de respiration, clé de la performance en VAE
Jean-Pierre a découvert l’importance de la technique de respiration pour optimiser ses sorties en VAE.
« J’ai appris à respirer comme un pro, ça m’a permis de tenir plus longtemps en mode éco et de brûler plus de calories », explique-t-il. Une respiration maîtrisée, c’est comme avoir un moteur bien réglé : ça vous fait avancer plus loin avec moins d’essence !
Le VAE, un allié inattendu pour le renforcement musculaire
Surprise ! Le VAE ne fait pas que vous faire pédaler, il vous muscle aussi. Jean-Pierre témoigne :
« Depuis que je fais du VAE, mes cuisses sont plus fermes. C’est comme si je faisais des squats cyclistes sans m’en rendre compte ! »
En effet, le pédalage assisté permet de travailler les muscles en douceur, idéal pour tonifier sans traumatiser les articulations.
L’importance des étirements post-VAE
Même si le VAE est moins intense qu’un vélo classique, les étirements post-cyclisme restent cruciaux. Jean-Pierre l’a appris à ses dépens :
« Au début, je négligeais les étirements. Résultat : des courbatures comme si j’avais fait Paris-Roubaix ! Maintenant, je m’étire systématiquement après chaque sortie. »
Le VAE, une porte d’entrée vers le cyclisme intensif ?
Pour beaucoup, le VAE est une étape vers le vélo classique. C’est le cas de Marie, 55 ans : « J’ai commencé par le VAE en mode éco. Petit à petit, j’ai réduit l’assistance. Aujourd’hui, je fais des sorties sans batterie, comme une grande ! » Le VAE, c’est comme les petites roues : ça vous donne confiance jusqu’à ce que vous soyez prêt à voler de vos propres ailes (ou pédales, en l’occurrence).
L’avenir du VAE : vers des modes éco encore plus performants ?
Les fabricants de VAE ne cessent d’innover.
Jérôme Dubois, ingénieur chez CycloTech, révèle : « Nous travaillons sur des algorithmes qui adaptent l’assistance en fonction de votre rythme cardiaque. L’objectif est de vous maintenir dans la zone idéale de combustion des graisses. » Le futur du VAE, ce serait donc un coach personnel intégré à votre vélo !
Alors, le VAE en mode éco pour perdre du poids, mythe ou réalité ? Jean-Pierre a sa réponse : 5 kg en moins et une forme olympique. Mais au-delà des chiffres sur la balance, c’est surtout le plaisir retrouvé de pédaler qui compte. Après tout, le meilleur régime n’est-il pas celui qu’on suit avec le sourire ? Et vous, prêt à enfourcher votre VAE pour une aventure cycliste tout en douceur ? N’oubliez pas, que ce soit en mode éco ou turbo, l’essentiel est de garder le cap vers une meilleure santé, un coup de pédale après l’autre !
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Bonjour, habitant dans l’arrière pays Niçois, je prenais de moins en moins de plaisir sur mon vélo.
À 83 ans je me suis mis au VAE. Jen ai 86 maintenant et je peux rouler de nouveau avec joie.
12 ans que j’ai commencé le vélo électrique pour rien au monde je reviendrais au musculaires j’ai 78 ans et fait 2 a3 sortie par semaine de 70 km à 26 voir 27 de moyenne
J’ai repris le vélo il y a 10 ans sur un vae j’ arrive a 71 ans et je fais des sorties de 40 à 80 Kms en mode eco et pour moi c’est devenu vitale
Idem ,je me suis fait traiter de fainéant, tricheur en montant le Galibier et bien d’autres cols mais je m’amuse comme un gamin avec son premier vélo , un vrai plaisir. Au début j’ai perdu 4 kg et maintenant je garde la forme. Bonne balade et attention aux automobilistes
Bonjour je reprends le vélo après 15 ans d’arrêt et 35 kilos de plus. Le VAE va m’aider à les perdre en prenant du plaisir. Surtout avec le capteur de couple au pédalier, il faut pédaler et forcer. Comme dit mon fils : « il faut les mériter les 25km/h ».
Sans mon investissement, je ne me serai probablement jamais remis au VTT.
Belle découverte et bel article.
Yoann
Bonjour monsieur,le bonheur à vélo peut être aussi de faire 35kms sur un vélo « normal »à 15 ou 18 de moyenne!!!!????
Je suis sceptique sur le fait de perdre du poids sur la seule pratique de cet engin électrique.En parallèle vous devez pratiquer un régime alimentaire ou une autre Vraie activité sportive